L'histoire sans fin...

Il était une fois un jeune homme plutôt quelconque, et fort maladroit, qui n'avait ni travail ni compagne. Son chapeau était absolument incroyable : le bord recouvert de poils de lapin s'attachait à trois boudins circulaires... Mais pour simplifier disons que c'était ce qui le distinguait des autres mal coiffés.

Gaspard était parmi les hommes, à n'en pas douter, celui à qui l'on pouvait facilement se confier; un gardien des secrets, toujours à l'affût de la moindre personne en détresse, en plus. Et pour cause : il était muet. Mais pas comme une carpe ou un gardon : muet comme peut l'être un mime Marceau.

Il était sur le chemin qui mène au moulin. Il écoutait les oiseaux chanter, le loup hurler, aperçut accroché à un buisson un pan de manteau rouge et un gourdin posé au sol. Il s'arrêta et pensa : "on a enlevé le petit chaperon rouge !" Il hésita, balança entre deux choix : le gourdin ou le pan de manteau ?

"Je repars sur le chemin armé de ce gourdin," estima-t-il en ajustant l'arme sur son épaule et reprenant sa route d'un pas alerte.

Il repéra une série de pas menant à une termitière, vaste cheminée érigée droit vers le ciel. Il examina près de l'édifice un tas d'os à demi rongés, qui d'après leur étrange disposition, étaient les reliquats d'un sacrifice humain.

En y regardant de plus près, les os blanchis par le temps étaient disposés dans un ordre particulier. Un tas d'os disposé en croissant de lune dirigé vers l'orient ! Brandissant son gourdin, inquiet en reconnaissant la signature des adorateurs de la noire Hécate, il effleura l'édifice pour conjurer le mauvais sort.

Concentré sur les mots

Il était une fois un jeune homme plutôt quelconque, et fort maladroit, qui n'avait ni travail ni compagne. Son chapeau était absolument incroyable : le bord recouvert de poils de lapin s'attachait à trois boudins circulaires... Mais pour simplifier disons que c'était ce qui le distinguait des autres mal coiffés.

Gaspard était parmi les hommes, à n'en pas douter, celui à qui l'on pouvait facilement se confier; un gardien des secrets, toujours à l'affût de la moindre personne en détresse, en plus. Et pour cause : il était muet. Mais pas comme une carpe ou un gardon : muet comme peut l'être un mime Marceau.

Il était sur le chemin qui mène au moulin. Il écoutait les oiseaux chanter, le loup hurler, aperçut accroché à un buisson un pan de manteau rouge et un gourdin posé au sol. Il s'arrêta et pensa : "on a enlevé le petit chaperon rouge !" Il hésita, balança entre deux choix : le gourdin ou le pan de manteau ?

"Je repars sur le chemin armé de ce gourdin," estima-t-il en ajustant l'arme sur son épaule et reprenant sa route d'un pas alerte.

Il repéra une série de pas menant à une termitière, vaste cheminée érigée droit vers le ciel. Il examina près de l'édifice un tas d'os à demi rongés, qui d'après leur étrange disposition, étaient les reliquats d'un sacrifice humain.

En y regardant de plus près, les os blanchis par le temps étaient disposés dans un ordre particulier. Un tas d'os disposé en croissant de lune dirigé vers l'orient ! Brandissant son gourdin, inquiet en reconnaissant la signature des adorateurs de la noire Hécate, il effleura l'édifice pour conjurer le mauvais sort.

Concentré sur les mots, il ne remarqua pas que la frêle colonne de la termitière se mettait à trembler

Il était une fois un jeune homme plutôt quelconque, et fort maladroit, qui n'avait ni travail ni compagne. Son chapeau était absolument incroyable : le bord recouvert de poils de lapin s'attachait à trois boudins circulaires... Mais pour simplifier disons que c'était ce qui le distinguait des autres mal coiffés.

Gaspard était parmi les hommes, à n'en pas douter, celui à qui l'on pouvait facilement se confier; un gardien des secrets, toujours à l'affût de la moindre personne en détresse, en plus. Et pour cause : il était muet. Mais pas comme une carpe ou un gardon : muet comme peut l'être un mime Marceau.

Il était sur le chemin qui mène au moulin. Il écoutait les oiseaux chanter, le loup hurler, aperçut accroché à un buisson un pan de manteau rouge et un gourdin posé au sol. Il s'arrêta et pensa : "on a enlevé le petit chaperon rouge !" Il hésita, balança entre deux choix : le gourdin ou le pan de manteau ?

"Je repars sur le chemin armé de ce gourdin," estima-t-il en ajustant l'arme sur son épaule et reprenant sa route d'un pas alerte.

Il repéra une série de pas menant à une termitière, vaste cheminée érigée droit vers le ciel. Il examina près de l'édifice un tas d'os à demi rongés, qui d'après leur étrange disposition, étaient les reliquats d'un sacrifice humain.

En y regardant de plus près, les os blanchis par le temps étaient disposés dans un ordre particulier. Un tas d'os disposé en croissant de lune dirigé vers l'orient ! Brandissant son gourdin, inquiet en reconnaissant la signature des adorateurs de la noire Hécate, il effleura l'édifice pour conjurer le mauvais sort.

Concentré sur les mots, il ne remarqua pas que la frêle colonne de la termitière se mettait à trembler, une lumière rougeoyante perçant des fines lignes de fissures

Il était une fois un jeune homme plutôt quelconque, et fort maladroit, qui n'avait ni travail ni compagne. Son chapeau était absolument incroyable : le bord recouvert de poils de lapin s'attachait à trois boudins circulaires... Mais pour simplifier disons que c'était ce qui le distinguait des autres mal coiffés.

Gaspard était parmi les hommes, à n'en pas douter, celui à qui l'on pouvait facilement se confier; un gardien des secrets, toujours à l'affût de la moindre personne en détresse, en plus. Et pour cause : il était muet. Mais pas comme une carpe ou un gardon : muet comme peut l'être un mime Marceau.

Il était sur le chemin qui mène au moulin. Il écoutait les oiseaux chanter, le loup hurler, aperçut accroché à un buisson un pan de manteau rouge et un gourdin posé au sol. Il s'arrêta et pensa : "on a enlevé le petit chaperon rouge !" Il hésita, balança entre deux choix : le gourdin ou le pan de manteau ?

"Je repars sur le chemin armé de ce gourdin," estima-t-il en ajustant l'arme sur son épaule et reprenant sa route d'un pas alerte.

Il repéra une série de pas menant à une termitière, vaste cheminée érigée droit vers le ciel. Il examina près de l'édifice un tas d'os à demi rongés, qui d'après leur étrange disposition, étaient les reliquats d'un sacrifice humain.

En y regardant de plus près, les os blanchis par le temps étaient disposés dans un ordre particulier. Un tas d'os disposé en croissant de lune dirigé vers l'orient ! Brandissant son gourdin, inquiet en reconnaissant la signature des adorateurs de la noire Hécate, il effleura l'édifice pour conjurer le mauvais sort.

Concentré sur les mots, il ne remarqua pas que la frêle colonne de la termitière se mettait à trembler, une lumière rougeoyante perçant des fines lignes de fissures çà et là.

Il était une fois un jeune homme plutôt quelconque, et fort maladroit, qui n'avait ni travail ni compagne. Son chapeau était absolument incroyable : le bord recouvert de poils de lapin s'attachait à trois boudins circulaires... Mais pour simplifier disons que c'était ce qui le distinguait des autres mal coiffés.

Gaspard était parmi les hommes, à n'en pas douter, celui à qui l'on pouvait facilement se confier; un gardien des secrets, toujours à l'affût de la moindre personne en détresse, en plus. Et pour cause : il était muet. Mais pas comme une carpe ou un gardon : muet comme peut l'être un mime Marceau.

Il était sur le chemin qui mène au moulin. Il écoutait les oiseaux chanter, le loup hurler, aperçut accroché à un buisson un pan de manteau rouge et un gourdin posé au sol. Il s'arrêta et pensa : "on a enlevé le petit chaperon rouge !" Il hésita, balança entre deux choix : le gourdin ou le pan de manteau ?

"Je repars sur le chemin armé de ce gourdin," estima-t-il en ajustant l'arme sur son épaule et reprenant sa route d'un pas alerte.

Il repéra une série de pas menant à une termitière, vaste cheminée érigée droit vers le ciel. Il examina près de l'édifice un tas d'os à demi rongés, qui d'après leur étrange disposition, étaient les reliquats d'un sacrifice humain.

En y regardant de plus près, les os blanchis par le temps étaient disposés dans un ordre particulier. Un tas d'os disposé en croissant de lune dirigé vers l'orient ! Brandissant son gourdin, inquiet en reconnaissant la signature des adorateurs de la noire Hécate, il effleura l'édifice pour conjurer le mauvais sort.

Concentré sur les mots, il ne remarqua pas que la frêle colonne de la termitière se mettait à trembler, une lumière rougeoyante perçant des fines lignes de fissures çà et là. Des fumerolles couleur de cendre s'élevèrent

Il était une fois un jeune homme plutôt quelconque, et fort maladroit, qui n'avait ni travail ni compagne. Son chapeau était absolument incroyable : le bord recouvert de poils de lapin s'attachait à trois boudins circulaires... Mais pour simplifier disons que c'était ce qui le distinguait des autres mal coiffés.

Gaspard était parmi les hommes, à n'en pas douter, celui à qui l'on pouvait facilement se confier; un gardien des secrets, toujours à l'affût de la moindre personne en détresse, en plus. Et pour cause : il était muet. Mais pas comme une carpe ou un gardon : muet comme peut l'être un mime Marceau.

Il était sur le chemin qui mène au moulin. Il écoutait les oiseaux chanter, le loup hurler, aperçut accroché à un buisson un pan de manteau rouge et un gourdin posé au sol. Il s'arrêta et pensa : "on a enlevé le petit chaperon rouge !" Il hésita, balança entre deux choix : le gourdin ou le pan de manteau ?

"Je repars sur le chemin armé de ce gourdin," estima-t-il en ajustant l'arme sur son épaule et reprenant sa route d'un pas alerte.

Il repéra une série de pas menant à une termitière, vaste cheminée érigée droit vers le ciel. Il examina près de l'édifice un tas d'os à demi rongés, qui d'après leur étrange disposition, étaient les reliquats d'un sacrifice humain.

En y regardant de plus près, les os blanchis par le temps étaient disposés dans un ordre particulier. Un tas d'os disposé en croissant de lune dirigé vers l'orient ! Brandissant son gourdin, inquiet en reconnaissant la signature des adorateurs de la noire Hécate, il effleura l'édifice pour conjurer le mauvais sort.

Concentré sur les mots, il ne remarqua pas que la frêle colonne de la termitière se mettait à trembler, une lumière rougeoyante perçant des fines lignes de fissures çà et là. Des fumerolles couleur de cendre s'élevèrent, obscurcissant le haut de l'édifice.

Il était une fois un jeune homme plutôt quelconque, et fort maladroit, qui n'avait ni travail ni compagne. Son chapeau était absolument incroyable : le bord recouvert de poils de lapin s'attachait à trois boudins circulaires... Mais pour simplifier disons que c'était ce qui le distinguait des autres mal coiffés.

Gaspard était parmi les hommes, à n'en pas douter, celui à qui l'on pouvait facilement se confier; un gardien des secrets, toujours à l'affût de la moindre personne en détresse, en plus. Et pour cause : il était muet. Mais pas comme une carpe ou un gardon : muet comme peut l'être un mime Marceau.

Il était sur le chemin qui mène au moulin. Il écoutait les oiseaux chanter, le loup hurler, aperçut accroché à un buisson un pan de manteau rouge et un gourdin posé au sol. Il s'arrêta et pensa : "on a enlevé le petit chaperon rouge !" Il hésita, balança entre deux choix : le gourdin ou le pan de manteau ?

"Je repars sur le chemin armé de ce gourdin," estima-t-il en ajustant l'arme sur son épaule et reprenant sa route d'un pas alerte.

Il repéra une série de pas menant à une termitière, vaste cheminée érigée droit vers le ciel. Il examina près de l'édifice un tas d'os à demi rongés, qui d'après leur étrange disposition, étaient les reliquats d'un sacrifice humain.

En y regardant de plus près, les os blanchis par le temps étaient disposés dans un ordre particulier. Un tas d'os disposé en croissant de lune dirigé vers l'orient ! Brandissant son gourdin, inquiet en reconnaissant la signature des adorateurs de la noire Hécate, il effleura l'édifice pour conjurer le mauvais sort.

Concentré sur les mots, il ne remarqua pas que la frêle colonne de la termitière se mettait à trembler, une lumière rougeoyante perçant des fines lignes de fissures çà et là. Des fumerolles couleur de cendre s'élevèrent, obscurcissant le haut de l'édifice. Dans le même temps, un son d'orgue grave résonna

Il était une fois un jeune homme plutôt quelconque, et fort maladroit, qui n'avait ni travail ni compagne. Son chapeau était absolument incroyable : le bord recouvert de poils de lapin s'attachait à trois boudins circulaires... Mais pour simplifier disons que c'était ce qui le distinguait des autres mal coiffés.

Gaspard était parmi les hommes, à n'en pas douter, celui à qui l'on pouvait facilement se confier; un gardien des secrets, toujours à l'affût de la moindre personne en détresse, en plus. Et pour cause : il était muet. Mais pas comme une carpe ou un gardon : muet comme peut l'être un mime Marceau.

Il était sur le chemin qui mène au moulin. Il écoutait les oiseaux chanter, le loup hurler, aperçut accroché à un buisson un pan de manteau rouge et un gourdin posé au sol. Il s'arrêta et pensa : "on a enlevé le petit chaperon rouge !" Il hésita, balança entre deux choix : le gourdin ou le pan de manteau ?

"Je repars sur le chemin armé de ce gourdin," estima-t-il en ajustant l'arme sur son épaule et reprenant sa route d'un pas alerte.

Il repéra une série de pas menant à une termitière, vaste cheminée érigée droit vers le ciel. Il examina près de l'édifice un tas d'os à demi rongés, qui d'après leur étrange disposition, étaient les reliquats d'un sacrifice humain.

En y regardant de plus près, les os blanchis par le temps étaient disposés dans un ordre particulier. Un tas d'os disposé en croissant de lune dirigé vers l'orient ! Brandissant son gourdin, inquiet en reconnaissant la signature des adorateurs de la noire Hécate, il effleura l'édifice pour conjurer le mauvais sort.

Concentré sur les mots, il ne remarqua pas que la frêle colonne de la termitière se mettait à trembler, une lumière rougeoyante perçant des fines lignes de fissures çà et là. Des fumerolles couleur de cendre s'élevèrent, obscurcissant le haut de l'édifice. Dans le même temps, un son d'orgue grave résonna, inquiétant Gaspard qui releva la tête

Il était une fois un jeune homme plutôt quelconque, et fort maladroit, qui n'avait ni travail ni compagne. Son chapeau était absolument incroyable : le bord recouvert de poils de lapin s'attachait à trois boudins circulaires... Mais pour simplifier disons que c'était ce qui le distinguait des autres mal coiffés.

Gaspard était parmi les hommes, à n'en pas douter, celui à qui l'on pouvait facilement se confier; un gardien des secrets, toujours à l'affût de la moindre personne en détresse, en plus. Et pour cause : il était muet. Mais pas comme une carpe ou un gardon : muet comme peut l'être un mime Marceau.

Il était sur le chemin qui mène au moulin. Il écoutait les oiseaux chanter, le loup hurler, aperçut accroché à un buisson un pan de manteau rouge et un gourdin posé au sol. Il s'arrêta et pensa : "on a enlevé le petit chaperon rouge !" Il hésita, balança entre deux choix : le gourdin ou le pan de manteau ?

"Je repars sur le chemin armé de ce gourdin," estima-t-il en ajustant l'arme sur son épaule et reprenant sa route d'un pas alerte.

Il repéra une série de pas menant à une termitière, vaste cheminée érigée droit vers le ciel. Il examina près de l'édifice un tas d'os à demi rongés, qui d'après leur étrange disposition, étaient les reliquats d'un sacrifice humain.

En y regardant de plus près, les os blanchis par le temps étaient disposés dans un ordre particulier. Un tas d'os disposé en croissant de lune dirigé vers l'orient ! Brandissant son gourdin, inquiet en reconnaissant la signature des adorateurs de la noire Hécate, il effleura l'édifice pour conjurer le mauvais sort.

Concentré sur les mots, il ne remarqua pas que la frêle colonne de la termitière se mettait à trembler, une lumière rougeoyante perçant des fines lignes de fissures çà et là. Des fumerolles couleur de cendre s'élevèrent, obscurcissant le haut de l'édifice. Dans le même temps, un son d'orgue grave résonna, inquiétant Gaspard qui releva la tête et aperçut, jaillissant des fissures à gros flots,

Il était une fois un jeune homme plutôt quelconque, et fort maladroit, qui n'avait ni travail ni compagne. Son chapeau était absolument incroyable : le bord recouvert de poils de lapin s'attachait à trois boudins circulaires... Mais pour simplifier disons que c'était ce qui le distinguait des autres mal coiffés.

Gaspard était parmi les hommes, à n'en pas douter, celui à qui l'on pouvait facilement se confier; un gardien des secrets, toujours à l'affût de la moindre personne en détresse, en plus. Et pour cause : il était muet. Mais pas comme une carpe ou un gardon : muet comme peut l'être un mime Marceau.

Il était sur le chemin qui mène au moulin. Il écoutait les oiseaux chanter, le loup hurler, aperçut accroché à un buisson un pan de manteau rouge et un gourdin posé au sol. Il s'arrêta et pensa : "on a enlevé le petit chaperon rouge !" Il hésita, balança entre deux choix : le gourdin ou le pan de manteau ?

"Je repars sur le chemin armé de ce gourdin," estima-t-il en ajustant l'arme sur son épaule et reprenant sa route d'un pas alerte.

Il repéra une série de pas menant à une termitière, vaste cheminée érigée droit vers le ciel. Il examina près de l'édifice un tas d'os à demi rongés, qui d'après leur étrange disposition, étaient les reliquats d'un sacrifice humain.

En y regardant de plus près, les os blanchis par le temps étaient disposés dans un ordre particulier. Un tas d'os disposé en croissant de lune dirigé vers l'orient ! Brandissant son gourdin, inquiet en reconnaissant la signature des adorateurs de la noire Hécate, il effleura l'édifice pour conjurer le mauvais sort.

Concentré sur les mots, il ne remarqua pas que la frêle colonne de la termitière se mettait à trembler, une lumière rougeoyante perçant des fines lignes de fissures çà et là. Des fumerolles couleur de cendre s'élevèrent, obscurcissant le haut de l'édifice. Dans le même temps, un son d'orgue grave résonna, inquiétant Gaspard qui releva la tête et aperçut, jaillissant des fissures à gros flots,de la lave.

Il était une fois un jeune homme plutôt quelconque, et fort maladroit, qui n'avait ni travail ni compagne. Son chapeau était absolument incroyable : le bord recouvert de poils de lapin s'attachait à trois boudins circulaires... Mais pour simplifier disons que c'était ce qui le distinguait des autres mal coiffés.

Gaspard était parmi les hommes, à n'en pas douter, celui à qui l'on pouvait facilement se confier; un gardien des secrets, toujours à l'affût de la moindre personne en détresse, en plus. Et pour cause : il était muet. Mais pas comme une carpe ou un gardon : muet comme peut l'être un mime Marceau.

Il était sur le chemin qui mène au moulin. Il écoutait les oiseaux chanter, le loup hurler, aperçut accroché à un buisson un pan de manteau rouge et un gourdin posé au sol. Il s'arrêta et pensa : "on a enlevé le petit chaperon rouge !" Il hésita, balança entre deux choix : le gourdin ou le pan de manteau ?

"Je repars sur le chemin armé de ce gourdin," estima-t-il en ajustant l'arme sur son épaule et reprenant sa route d'un pas alerte.

Il repéra une série de pas menant à une termitière, vaste cheminée érigée droit vers le ciel. Il examina près de l'édifice un tas d'os à demi rongés, qui d'après leur étrange disposition, étaient les reliquats d'un sacrifice humain.

En y regardant de plus près, les os blanchis par le temps étaient disposés dans un ordre particulier. Un tas d'os disposé en croissant de lune dirigé vers l'orient ! Brandissant son gourdin, inquiet en reconnaissant la signature des adorateurs de la noire Hécate, il effleura l'édifice pour conjurer le mauvais sort.

Concentré sur les mots, il ne remarqua pas que la frêle colonne de la termitière se mettait à trembler, une lumière rougeoyante perçant des fines lignes de fissures çà et là. Des fumerolles couleur de cendre s'élevèrent, obscurcissant le haut de l'édifice. Dans le même temps, un son d'orgue grave résonna, inquiétant Gaspard qui releva la tête et aperçut, jaillissant des fissures à gros flots,de la lave. "Ce n'est rien que

Il était une fois un jeune homme plutôt quelconque, et fort maladroit, qui n'avait ni travail ni compagne. Son chapeau était absolument incroyable : le bord recouvert de poils de lapin s'attachait à trois boudins circulaires... Mais pour simplifier disons que c'était ce qui le distinguait des autres mal coiffés.

Gaspard était parmi les hommes, à n'en pas douter, celui à qui l'on pouvait facilement se confier; un gardien des secrets, toujours à l'affût de la moindre personne en détresse, en plus. Et pour cause : il était muet. Mais pas comme une carpe ou un gardon : muet comme peut l'être un mime Marceau.

Il était sur le chemin qui mène au moulin. Il écoutait les oiseaux chanter, le loup hurler, aperçut accroché à un buisson un pan de manteau rouge et un gourdin posé au sol. Il s'arrêta et pensa : "on a enlevé le petit chaperon rouge !" Il hésita, balança entre deux choix : le gourdin ou le pan de manteau ?

"Je repars sur le chemin armé de ce gourdin," estima-t-il en ajustant l'arme sur son épaule et reprenant sa route d'un pas alerte.

Il repéra une série de pas menant à une termitière, vaste cheminée érigée droit vers le ciel. Il examina près de l'édifice un tas d'os à demi rongés, qui d'après leur étrange disposition, étaient les reliquats d'un sacrifice humain.

En y regardant de plus près, les os blanchis par le temps étaient disposés dans un ordre particulier. Un tas d'os disposé en croissant de lune dirigé vers l'orient ! Brandissant son gourdin, inquiet en reconnaissant la signature des adorateurs de la noire Hécate, il effleura l'édifice pour conjurer le mauvais sort.

Concentré sur les mots, il ne remarqua pas que la frêle colonne de la termitière se mettait à trembler, une lumière rougeoyante perçant des fines lignes de fissures çà et là. Des fumerolles couleur de cendre s'élevèrent, obscurcissant le haut de l'édifice. Dans le même temps, un son d'orgue grave résonna, inquiétant Gaspard qui releva la tête et aperçut, jaillissant des fissures à gros flots,de la lave. "Ce n'est rien que le feu de la terre" pensa-t-il

Il était une fois un jeune homme plutôt quelconque, et fort maladroit, qui n'avait ni travail ni compagne. Son chapeau était absolument incroyable : le bord recouvert de poils de lapin s'attachait à trois boudins circulaires... Mais pour simplifier disons que c'était ce qui le distinguait des autres mal coiffés.

Gaspard était parmi les hommes, à n'en pas douter, celui à qui l'on pouvait facilement se confier; un gardien des secrets, toujours à l'affût de la moindre personne en détresse, en plus. Et pour cause : il était muet. Mais pas comme une carpe ou un gardon : muet comme peut l'être un mime Marceau.

Il était sur le chemin qui mène au moulin. Il écoutait les oiseaux chanter, le loup hurler, aperçut accroché à un buisson un pan de manteau rouge et un gourdin posé au sol. Il s'arrêta et pensa : "on a enlevé le petit chaperon rouge !" Il hésita, balança entre deux choix : le gourdin ou le pan de manteau ?

"Je repars sur le chemin armé de ce gourdin," estima-t-il en ajustant l'arme sur son épaule et reprenant sa route d'un pas alerte.

Il repéra une série de pas menant à une termitière, vaste cheminée érigée droit vers le ciel. Il examina près de l'édifice un tas d'os à demi rongés, qui d'après leur étrange disposition, étaient les reliquats d'un sacrifice humain.

En y regardant de plus près, les os blanchis par le temps étaient disposés dans un ordre particulier. Un tas d'os disposé en croissant de lune dirigé vers l'orient ! Brandissant son gourdin, inquiet en reconnaissant la signature des adorateurs de la noire Hécate, il effleura l'édifice pour conjurer le mauvais sort.

Concentré sur les mots, il ne remarqua pas que la frêle colonne de la termitière se mettait à trembler, une lumière rougeoyante perçant des fines lignes de fissures çà et là. Des fumerolles couleur de cendre s'élevèrent, obscurcissant le haut de l'édifice. Dans le même temps, un son d'orgue grave résonna, inquiétant Gaspard qui releva la tête et aperçut, jaillissant des fissures à gros flots, de la lave. "Ce n'est rien que le feu de la terre", pensa-t-il, peu impressionné.

Il était une fois un jeune homme plutôt quelconque, et fort maladroit, qui n'avait ni travail ni compagne. Son chapeau était absolument incroyable : le bord recouvert de poils de lapin s'attachait à trois boudins circulaires... Mais pour simplifier disons que c'était ce qui le distinguait des autres mal coiffés.

Gaspard était parmi les hommes, à n'en pas douter, celui à qui l'on pouvait facilement se confier; un gardien des secrets, toujours à l'affût de la moindre personne en détresse, en plus. Et pour cause : il était muet. Mais pas comme une carpe ou un gardon : muet comme peut l'être un mime Marceau.

Il était sur le chemin qui mène au moulin. Il écoutait les oiseaux chanter, le loup hurler, aperçut accroché à un buisson un pan de manteau rouge et un gourdin posé au sol. Il s'arrêta et pensa : "on a enlevé le petit chaperon rouge !" Il hésita, balança entre deux choix : le gourdin ou le pan de manteau ?

"Je repars sur le chemin armé de ce gourdin," estima-t-il en ajustant l'arme sur son épaule et reprenant sa route d'un pas alerte.

Il repéra une série de pas menant à une termitière, vaste cheminée érigée droit vers le ciel. Il examina près de l'édifice un tas d'os à demi rongés, qui d'après leur étrange disposition, étaient les reliquats d'un sacrifice humain.

En y regardant de plus près, les os blanchis par le temps étaient disposés dans un ordre particulier. Un tas d'os disposé en croissant de lune dirigé vers l'orient ! Brandissant son gourdin, inquiet en reconnaissant la signature des adorateurs de la noire Hécate, il effleura l'édifice pour conjurer le mauvais sort.

Concentré sur les mots, il ne remarqua pas que la frêle colonne de la termitière se mettait à trembler, une lumière rougeoyante perçant des fines lignes de fissures çà et là. Des fumerolles couleur de cendre s'élevèrent, obscurcissant le haut de l'édifice. Dans le même temps, un son d'orgue grave résonna, inquiétant Gaspard qui releva la tête et aperçut, jaillissant des fissures à gros flots, de la lave. "Ce n'est rien que le feu de la terre", pensa-t-il, peu impressionné.

Il s'éloigna pour ne pas sentir les vapeurs de soufre

Il était une fois un jeune homme plutôt quelconque, et fort maladroit, qui n'avait ni travail ni compagne. Son chapeau était absolument incroyable : le bord recouvert de poils de lapin s'attachait à trois boudins circulaires... Mais pour simplifier disons que c'était ce qui le distinguait des autres mal coiffés.

Gaspard était parmi les hommes, à n'en pas douter, celui à qui l'on pouvait facilement se confier; un gardien des secrets, toujours à l'affût de la moindre personne en détresse, en plus. Et pour cause : il était muet. Mais pas comme une carpe ou un gardon : muet comme peut l'être un mime Marceau.

Il était sur le chemin qui mène au moulin. Il écoutait les oiseaux chanter, le loup hurler, aperçut accroché à un buisson un pan de manteau rouge et un gourdin posé au sol. Il s'arrêta et pensa : "on a enlevé le petit chaperon rouge !" Il hésita, balança entre deux choix : le gourdin ou le pan de manteau ?

"Je repars sur le chemin armé de ce gourdin," estima-t-il en ajustant l'arme sur son épaule et reprenant sa route d'un pas alerte.

Il repéra une série de pas menant à une termitière, vaste cheminée érigée droit vers le ciel. Il examina près de l'édifice un tas d'os à demi rongés, qui d'après leur étrange disposition, étaient les reliquats d'un sacrifice humain.

En y regardant de plus près, les os blanchis par le temps étaient disposés dans un ordre particulier. Un tas d'os disposé en croissant de lune dirigé vers l'orient ! Brandissant son gourdin, inquiet en reconnaissant la signature des adorateurs de la noire Hécate, il effleura l'édifice pour conjurer le mauvais sort.

Concentré sur les mots, il ne remarqua pas que la frêle colonne de la termitière se mettait à trembler, une lumière rougeoyante perçant des fines lignes de fissures çà et là. Des fumerolles couleur de cendre s'élevèrent, obscurcissant le haut de l'édifice. Dans le même temps, un son d'orgue grave résonna, inquiétant Gaspard qui releva la tête et aperçut, jaillissant des fissures à gros flots, de la lave. "Ce n'est rien que le feu de la terre", pensa-t-il, peu impressionné.

Il s'éloigna pour ne pas sentir les vapeurs de soufre , cela lui donna un  

Il était une fois un jeune homme plutôt quelconque, et fort maladroit, qui n'avait ni travail ni compagne. Son chapeau était absolument incroyable : le bord recouvert de poils de lapin s'attachait à trois boudins circulaires... Mais pour simplifier disons que c'était ce qui le distinguait des autres mal coiffés.

Gaspard était parmi les hommes, à n'en pas douter, celui à qui l'on pouvait facilement se confier; un gardien des secrets, toujours à l'affût de la moindre personne en détresse, en plus. Et pour cause : il était muet. Mais pas comme une carpe ou un gardon : muet comme peut l'être un mime Marceau.

Il était sur le chemin qui mène au moulin. Il écoutait les oiseaux chanter, le loup hurler, aperçut accroché à un buisson un pan de manteau rouge et un gourdin posé au sol. Il s'arrêta et pensa : "on a enlevé le petit chaperon rouge !" Il hésita, balança entre deux choix : le gourdin ou le pan de manteau ?

"Je repars sur le chemin armé de ce gourdin," estima-t-il en ajustant l'arme sur son épaule et reprenant sa route d'un pas alerte.

Il repéra une série de pas menant à une termitière, vaste cheminée érigée droit vers le ciel. Il examina près de l'édifice un tas d'os à demi rongés, qui d'après leur étrange disposition, étaient les reliquats d'un sacrifice humain.

En y regardant de plus près, les os blanchis par le temps étaient disposés dans un ordre particulier. Un tas d'os disposé en croissant de lune dirigé vers l'orient ! Brandissant son gourdin, inquiet en reconnaissant la signature des adorateurs de la noire Hécate, il effleura l'édifice pour conjurer le mauvais sort.

Concentré sur les mots, il ne remarqua pas que la frêle colonne de la termitière se mettait à trembler, une lumière rougeoyante perçant des fines lignes de fissures çà et là. Des fumerolles couleur de cendre s'élevèrent, obscurcissant le haut de l'édifice. Dans le même temps, un son d'orgue grave résonna, inquiétant Gaspard qui releva la tête et aperçut, jaillissant des fissures à gros flots, de la lave. "Ce n'est rien que le feu de la terre", pensa-t-il, peu impressionné.

Il s'éloigna pour ne pas sentir les vapeurs de soufre , cela lui donna un instant de répit pour reprendre ses esprits

Il était une fois un jeune homme plutôt quelconque, et fort maladroit, qui n'avait ni travail ni compagne. Son chapeau était absolument incroyable : le bord recouvert de poils de lapin s'attachait à trois boudins circulaires... Mais pour simplifier disons que c'était ce qui le distinguait des autres mal coiffés.

Gaspard était parmi les hommes, à n'en pas douter, celui à qui l'on pouvait facilement se confier; un gardien des secrets, toujours à l'affût de la moindre personne en détresse, en plus. Et pour cause : il était muet. Mais pas comme une carpe ou un gardon : muet comme peut l'être un mime Marceau.

Il était sur le chemin qui mène au moulin. Il écoutait les oiseaux chanter, le loup hurler, aperçut accroché à un buisson un pan de manteau rouge et un gourdin posé au sol. Il s'arrêta et pensa : "on a enlevé le petit chaperon rouge !" Il hésita, balança entre deux choix : le gourdin ou le pan de manteau ?

"Je repars sur le chemin armé de ce gourdin," estima-t-il en ajustant l'arme sur son épaule et reprenant sa route d'un pas alerte.

Il repéra une série de pas menant à une termitière, vaste cheminée érigée droit vers le ciel. Il examina près de l'édifice un tas d'os à demi rongés, qui d'après leur étrange disposition, étaient les reliquats d'un sacrifice humain.

En y regardant de plus près, les os blanchis par le temps étaient disposés dans un ordre particulier. Un tas d'os disposé en croissant de lune dirigé vers l'orient ! Brandissant son gourdin, inquiet en reconnaissant la signature des adorateurs de la noire Hécate, il effleura l'édifice pour conjurer le mauvais sort.

Concentré sur les mots, il ne remarqua pas que la frêle colonne de la termitière se mettait à trembler, une lumière rougeoyante perçant des fines lignes de fissures çà et là. Des fumerolles couleur de cendre s'élevèrent, obscurcissant le haut de l'édifice. Dans le même temps, un son d'orgue grave résonna, inquiétant Gaspard qui releva la tête et aperçut, jaillissant des fissures à gros flots, de la lave. "Ce n'est rien que le feu de la terre", pensa-t-il, peu impressionné.

Il s'éloigna pour ne pas sentir les vapeurs de soufre , cela lui donna un instant de répit pour reprendre ses esprits.

J'ai faim se dit-il soudain

Il était une fois un jeune homme plutôt quelconque, et fort maladroit, qui n'avait ni travail ni compagne. Son chapeau était absolument incroyable : le bord recouvert de poils de lapin s'attachait à trois boudins circulaires... Mais pour simplifier disons que c'était ce qui le distinguait des autres mal coiffés.

Gaspard était parmi les hommes, à n'en pas douter, celui à qui l'on pouvait facilement se confier; un gardien des secrets, toujours à l'affût de la moindre personne en détresse, en plus. Et pour cause : il était muet. Mais pas comme une carpe ou un gardon : muet comme peut l'être un mime Marceau.

Il était sur le chemin qui mène au moulin. Il écoutait les oiseaux chanter, le loup hurler, aperçut accroché à un buisson un pan de manteau rouge et un gourdin posé au sol. Il s'arrêta et pensa : "on a enlevé le petit chaperon rouge !" Il hésita, balança entre deux choix : le gourdin ou le pan de manteau ?

"Je repars sur le chemin armé de ce gourdin," estima-t-il en ajustant l'arme sur son épaule et reprenant sa route d'un pas alerte.

Il repéra une série de pas menant à une termitière, vaste cheminée érigée droit vers le ciel. Il examina près de l'édifice un tas d'os à demi rongés, qui d'après leur étrange disposition, étaient les reliquats d'un sacrifice humain.

En y regardant de plus près, les os blanchis par le temps étaient disposés dans un ordre particulier. Un tas d'os disposé en croissant de lune dirigé vers l'orient ! Brandissant son gourdin, inquiet en reconnaissant la signature des adorateurs de la noire Hécate, il effleura l'édifice pour conjurer le mauvais sort.

Concentré sur les mots, il ne remarqua pas que la frêle colonne de la termitière se mettait à trembler, une lumière rougeoyante perçant des fines lignes de fissures çà et là. Des fumerolles couleur de cendre s'élevèrent, obscurcissant le haut de l'édifice. Dans le même temps, un son d'orgue grave résonna, inquiétant Gaspard qui releva la tête et aperçut, jaillissant des fissures à gros flots, de la lave. "Ce n'est rien que le feu de la terre", pensa-t-il, peu impressionné.

Il s'éloigna pour ne pas sentir les vapeurs de soufre , cela lui donna un instant de répit pour reprendre ses esprits.

"J'ai faim", se dit-il soudain, maintenant un peu inquiet.

Il était une fois un jeune homme plutôt quelconque, et fort maladroit, qui n'avait ni travail ni compagne. Son chapeau était absolument incroyable : le bord recouvert de poils de lapin s'attachait à trois boudins circulaires... Mais pour simplifier disons que c'était ce qui le distinguait des autres mal coiffés.

Gaspard était parmi les hommes, à n'en pas douter, celui à qui l'on pouvait facilement se confier; un gardien des secrets, toujours à l'affût de la moindre personne en détresse, en plus. Et pour cause : il était muet. Mais pas comme une carpe ou un gardon : muet comme peut l'être un mime Marceau.

Il était sur le chemin qui mène au moulin. Il écoutait les oiseaux chanter, le loup hurler, aperçut accroché à un buisson un pan de manteau rouge et un gourdin posé au sol. Il s'arrêta et pensa : "on a enlevé le petit chaperon rouge !" Il hésita, balança entre deux choix : le gourdin ou le pan de manteau ?

"Je repars sur le chemin armé de ce gourdin," estima-t-il en ajustant l'arme sur son épaule et reprenant sa route d'un pas alerte.

Il repéra une série de pas menant à une termitière, vaste cheminée érigée droit vers le ciel. Il examina près de l'édifice un tas d'os à demi rongés, qui d'après leur étrange disposition, étaient les reliquats d'un sacrifice humain.

En y regardant de plus près, les os blanchis par le temps étaient disposés dans un ordre particulier. Un tas d'os disposé en croissant de lune dirigé vers l'orient ! Brandissant son gourdin, inquiet en reconnaissant la signature des adorateurs de la noire Hécate, il effleura l'édifice pour conjurer le mauvais sort.

Concentré sur les mots, il ne remarqua pas que la frêle colonne de la termitière se mettait à trembler, une lumière rougeoyante perçant des fines lignes de fissures çà et là. Des fumerolles couleur de cendre s'élevèrent, obscurcissant le haut de l'édifice. Dans le même temps, un son d'orgue grave résonna, inquiétant Gaspard qui releva la tête et aperçut, jaillissant des fissures à gros flots, de la lave. "Ce n'est rien que le feu de la terre", pensa-t-il, peu impressionné.

Il s'éloigna pour ne pas sentir les vapeurs de soufre , cela lui donna un instant de répit pour reprendre ses esprits.

"J'ai faim", se dit-il soudain, maintenant un peu inquiet. Il fouilla dans sa sacoche

Il était une fois un jeune homme plutôt quelconque, et fort maladroit, qui n'avait ni travail ni compagne. Son chapeau était absolument incroyable : le bord recouvert de poils de lapin s'attachait à trois boudins circulaires... Mais pour simplifier disons que c'était ce qui le distinguait des autres mal coiffés.

Gaspard était parmi les hommes, à n'en pas douter, celui à qui l'on pouvait facilement se confier; un gardien des secrets, toujours à l'affût de la moindre personne en détresse, en plus. Et pour cause : il était muet. Mais pas comme une carpe ou un gardon : muet comme peut l'être un mime Marceau.

Il était sur le chemin qui mène au moulin. Il écoutait les oiseaux chanter, le loup hurler, aperçut accroché à un buisson un pan de manteau rouge et un gourdin posé au sol. Il s'arrêta et pensa : "on a enlevé le petit chaperon rouge !" Il hésita, balança entre deux choix : le gourdin ou le pan de manteau ?

"Je repars sur le chemin armé de ce gourdin," estima-t-il en ajustant l'arme sur son épaule et reprenant sa route d'un pas alerte.

Il repéra une série de pas menant à une termitière, vaste cheminée érigée droit vers le ciel. Il examina près de l'édifice un tas d'os à demi rongés, qui d'après leur étrange disposition, étaient les reliquats d'un sacrifice humain.

En y regardant de plus près, les os blanchis par le temps étaient disposés dans un ordre particulier. Un tas d'os disposé en croissant de lune dirigé vers l'orient ! Brandissant son gourdin, inquiet en reconnaissant la signature des adorateurs de la noire Hécate, il effleura l'édifice pour conjurer le mauvais sort.

Concentré sur les mots, il ne remarqua pas que la frêle colonne de la termitière se mettait à trembler, une lumière rougeoyante perçant des fines lignes de fissures çà et là. Des fumerolles couleur de cendre s'élevèrent, obscurcissant le haut de l'édifice. Dans le même temps, un son d'orgue grave résonna, inquiétant Gaspard qui releva la tête et aperçut, jaillissant des fissures à gros flots, de la lave. "Ce n'est rien que le feu de la terre", pensa-t-il, peu impressionné.

Il s'éloigna pour ne pas sentir les vapeurs de soufre , cela lui donna un instant de répit pour reprendre ses esprits.

"J'ai faim", se dit-il soudain, maintenant un peu inquiet. Il fouilla dans sa sacoche , en sorti un quignon de pain

Il était une fois un jeune homme plutôt quelconque, et fort maladroit, qui n'avait ni travail ni compagne. Son chapeau était absolument incroyable : le bord recouvert de poils de lapin s'attachait à trois boudins circulaires... Mais pour simplifier disons que c'était ce qui le distinguait des autres mal coiffés.

Gaspard était parmi les hommes, à n'en pas douter, celui à qui l'on pouvait facilement se confier; un gardien des secrets, toujours à l'affût de la moindre personne en détresse, en plus. Et pour cause : il était muet. Mais pas comme une carpe ou un gardon : muet comme peut l'être un mime Marceau.

Il était sur le chemin qui mène au moulin. Il écoutait les oiseaux chanter, le loup hurler, aperçut accroché à un buisson un pan de manteau rouge et un gourdin posé au sol. Il s'arrêta et pensa : "on a enlevé le petit chaperon rouge !" Il hésita, balança entre deux choix : le gourdin ou le pan de manteau ?

"Je repars sur le chemin armé de ce gourdin," estima-t-il en ajustant l'arme sur son épaule et reprenant sa route d'un pas alerte.

Il repéra une série de pas menant à une termitière, vaste cheminée érigée droit vers le ciel. Il examina près de l'édifice un tas d'os à demi rongés, qui d'après leur étrange disposition, étaient les reliquats d'un sacrifice humain.

En y regardant de plus près, les os blanchis par le temps étaient disposés dans un ordre particulier. Un tas d'os disposé en croissant de lune dirigé vers l'orient ! Brandissant son gourdin, inquiet en reconnaissant la signature des adorateurs de la noire Hécate, il effleura l'édifice pour conjurer le mauvais sort.

Concentré sur les mots, il ne remarqua pas que la frêle colonne de la termitière se mettait à trembler, une lumière rougeoyante perçant des fines lignes de fissures çà et là. Des fumerolles couleur de cendre s'élevèrent, obscurcissant le haut de l'édifice. Dans le même temps, un son d'orgue grave résonna, inquiétant Gaspard qui releva la tête et aperçut, jaillissant des fissures à gros flots, de la lave. "Ce n'est rien que le feu de la terre", pensa-t-il, peu impressionné.

Il s'éloigna pour ne pas sentir les vapeurs de soufre, cela lui donna un instant de répit pour reprendre ses esprits.

"J'ai faim", se dit-il soudain, maintenant un peu inquiet. Il fouilla dans sa sacoche, en sortit un quignon de pain qu'il engloutit très vite

Il était une fois un jeune homme plutôt quelconque, et fort maladroit, qui n'avait ni travail ni compagne. Son chapeau était absolument incroyable : le bord recouvert de poils de lapin s'attachait à trois boudins circulaires... Mais pour simplifier disons que c'était ce qui le distinguait des autres mal coiffés.

Gaspard était parmi les hommes, à n'en pas douter, celui à qui l'on pouvait facilement se confier; un gardien des secrets, toujours à l'affût de la moindre personne en détresse, en plus. Et pour cause : il était muet. Mais pas comme une carpe ou un gardon : muet comme peut l'être un mime Marceau.

Il était sur le chemin qui mène au moulin. Il écoutait les oiseaux chanter, le loup hurler, aperçut accroché à un buisson un pan de manteau rouge et un gourdin posé au sol. Il s'arrêta et pensa : "on a enlevé le petit chaperon rouge !" Il hésita, balança entre deux choix : le gourdin ou le pan de manteau ?

"Je repars sur le chemin armé de ce gourdin," estima-t-il en ajustant l'arme sur son épaule et reprenant sa route d'un pas alerte.

Il repéra une série de pas menant à une termitière, vaste cheminée érigée droit vers le ciel. Il examina près de l'édifice un tas d'os à demi rongés, qui d'après leur étrange disposition, étaient les reliquats d'un sacrifice humain.

En y regardant de plus près, les os blanchis par le temps étaient disposés dans un ordre particulier. Un tas d'os disposé en croissant de lune dirigé vers l'orient ! Brandissant son gourdin, inquiet en reconnaissant la signature des adorateurs de la noire Hécate, il effleura l'édifice pour conjurer le mauvais sort.

Concentré sur les mots, il ne remarqua pas que la frêle colonne de la termitière se mettait à trembler, une lumière rougeoyante perçant des fines lignes de fissures çà et là. Des fumerolles couleur de cendre s'élevèrent, obscurcissant le haut de l'édifice. Dans le même temps, un son d'orgue grave résonna, inquiétant Gaspard qui releva la tête et aperçut, jaillissant des fissures à gros flots, de la lave. "Ce n'est rien que le feu de la terre", pensa-t-il, peu impressionné.

Il s'éloigna pour ne pas sentir les vapeurs de soufre, cela lui donna un instant de répit pour reprendre ses esprits.

"J'ai faim", se dit-il soudain, maintenant un peu inquiet. Il fouilla dans sa sacoche, en sortit un quignon de pain qu'il engloutit très vite et s'entrucha avec : le pain était sec

Il était une fois un jeune homme plutôt quelconque, et fort maladroit, qui n'avait ni travail ni compagne. Son chapeau était absolument incroyable : le bord recouvert de poils de lapin s'attachait à trois boudins circulaires... Mais pour simplifier disons que c'était ce qui le distinguait des autres mal coiffés.

Gaspard était parmi les hommes, à n'en pas douter, celui à qui l'on pouvait facilement se confier; un gardien des secrets, toujours à l'affût de la moindre personne en détresse, en plus. Et pour cause : il était muet. Mais pas comme une carpe ou un gardon : muet comme peut l'être un mime Marceau.

Il était sur le chemin qui mène au moulin. Il écoutait les oiseaux chanter, le loup hurler, aperçut accroché à un buisson un pan de manteau rouge et un gourdin posé au sol. Il s'arrêta et pensa : "on a enlevé le petit chaperon rouge !" Il hésita, balança entre deux choix : le gourdin ou le pan de manteau ?

"Je repars sur le chemin armé de ce gourdin," estima-t-il en ajustant l'arme sur son épaule et reprenant sa route d'un pas alerte.

Il repéra une série de pas menant à une termitière, vaste cheminée érigée droit vers le ciel. Il examina près de l'édifice un tas d'os à demi rongés, qui d'après leur étrange disposition, étaient les reliquats d'un sacrifice humain.

En y regardant de plus près, les os blanchis par le temps étaient disposés dans un ordre particulier. Un tas d'os disposé en croissant de lune dirigé vers l'orient ! Brandissant son gourdin, inquiet en reconnaissant la signature des adorateurs de la noire Hécate, il effleura l'édifice pour conjurer le mauvais sort.

Concentré sur les mots, il ne remarqua pas que la frêle colonne de la termitière se mettait à trembler, une lumière rougeoyante perçant des fines lignes de fissures çà et là. Des fumerolles couleur de cendre s'élevèrent, obscurcissant le haut de l'édifice. Dans le même temps, un son d'orgue grave résonna, inquiétant Gaspard qui releva la tête et aperçut, jaillissant des fissures à gros flots, de la lave. "Ce n'est rien que le feu de la terre", pensa-t-il, peu impressionné.

Il s'éloigna pour ne pas sentir les vapeurs de soufre, cela lui donna un instant de répit pour reprendre ses esprits.

"J'ai faim", se dit-il soudain, maintenant un peu inquiet. Il fouilla dans sa sacoche, en sortit un quignon de pain qu'il engloutit très vite et s'entrucha avec : le pain était sec. Gaspard passa

Il était une fois un jeune homme plutôt quelconque, et fort maladroit, qui n'avait ni travail ni compagne. Son chapeau était absolument incroyable : le bord recouvert de poils de lapin s'attachait à trois boudins circulaires... Mais pour simplifier disons que c'était ce qui le distinguait des autres mal coiffés.

Gaspard était parmi les hommes, à n'en pas douter, celui à qui l'on pouvait facilement se confier; un gardien des secrets, toujours à l'affût de la moindre personne en détresse, en plus. Et pour cause : il était muet. Mais pas comme une carpe ou un gardon : muet comme peut l'être un mime Marceau.

Il était sur le chemin qui mène au moulin. Il écoutait les oiseaux chanter, le loup hurler, aperçut accroché à un buisson un pan de manteau rouge et un gourdin posé au sol. Il s'arrêta et pensa : "on a enlevé le petit chaperon rouge !" Il hésita, balança entre deux choix : le gourdin ou le pan de manteau ?

"Je repars sur le chemin armé de ce gourdin," estima-t-il en ajustant l'arme sur son épaule et reprenant sa route d'un pas alerte.

Il repéra une série de pas menant à une termitière, vaste cheminée érigée droit vers le ciel. Il examina près de l'édifice un tas d'os à demi rongés, qui d'après leur étrange disposition, étaient les reliquats d'un sacrifice humain.

En y regardant de plus près, les os blanchis par le temps étaient disposés dans un ordre particulier. Un tas d'os disposé en croissant de lune dirigé vers l'orient ! Brandissant son gourdin, inquiet en reconnaissant la signature des adorateurs de la noire Hécate, il effleura l'édifice pour conjurer le mauvais sort.

Concentré sur les mots, il ne remarqua pas que la frêle colonne de la termitière se mettait à trembler, une lumière rougeoyante perçant des fines lignes de fissures çà et là. Des fumerolles couleur de cendre s'élevèrent, obscurcissant le haut de l'édifice. Dans le même temps, un son d'orgue grave résonna, inquiétant Gaspard qui releva la tête et aperçut, jaillissant des fissures à gros flots, de la lave. "Ce n'est rien que le feu de la terre", pensa-t-il, peu impressionné.

Il s'éloigna pour ne pas sentir les vapeurs de soufre, cela lui donna un instant de répit pour reprendre ses esprits.

"J'ai faim", se dit-il soudain, maintenant un peu inquiet. Il fouilla dans sa sacoche, en sortit un quignon de pain qu'il engloutit très vite et s'entrucha avec : le pain était sec. Gaspard passa l'arme à gauche.

Il était une fois un jeune homme plutôt quelconque, et fort maladroit, qui n'avait ni travail ni compagne. Son chapeau était absolument incroyable : le bord recouvert de poils de lapin s'attachait à trois boudins circulaires... Mais pour simplifier disons que c'était ce qui le distinguait des autres mal coiffés.

Gaspard était parmi les hommes, à n'en pas douter, celui à qui l'on pouvait facilement se confier; un gardien des secrets, toujours à l'affût de la moindre personne en détresse, en plus. Et pour cause : il était muet. Mais pas comme une carpe ou un gardon : muet comme peut l'être un mime Marceau.

Il était sur le chemin qui mène au moulin. Il écoutait les oiseaux chanter, le loup hurler, aperçut accroché à un buisson un pan de manteau rouge et un gourdin posé au sol. Il s'arrêta et pensa : "on a enlevé le petit chaperon rouge !" Il hésita, balança entre deux choix : le gourdin ou le pan de manteau ?

"Je repars sur le chemin armé de ce gourdin," estima-t-il en ajustant l'arme sur son épaule et reprenant sa route d'un pas alerte.

Il repéra une série de pas menant à une termitière, vaste cheminée érigée droit vers le ciel. Il examina près de l'édifice un tas d'os à demi rongés, qui d'après leur étrange disposition, étaient les reliquats d'un sacrifice humain.

En y regardant de plus près, les os blanchis par le temps étaient disposés dans un ordre particulier. Un tas d'os disposé en croissant de lune dirigé vers l'orient ! Brandissant son gourdin, inquiet en reconnaissant la signature des adorateurs de la noire Hécate, il effleura l'édifice pour conjurer le mauvais sort.

Concentré sur les mots, il ne remarqua pas que la frêle colonne de la termitière se mettait à trembler, une lumière rougeoyante perçant des fines lignes de fissures çà et là. Des fumerolles couleur de cendre s'élevèrent, obscurcissant le haut de l'édifice. Dans le même temps, un son d'orgue grave résonna, inquiétant Gaspard qui releva la tête et aperçut, jaillissant des fissures à gros flots, de la lave. "Ce n'est rien que le feu de la terre", pensa-t-il, peu impressionné.

Il s'éloigna pour ne pas sentir les vapeurs de soufre, cela lui donna un instant de répit pour reprendre ses esprits.

"J'ai faim", se dit-il soudain, maintenant un peu inquiet. Il fouilla dans sa sacoche, en sortit un quignon de pain qu'il engloutit très vite et s'entrucha avec : le pain était sec. Gaspard passa l'arme à gauche. A ce moment-là une jeune fille s'approcha

Il était une fois un jeune homme plutôt quelconque, et fort maladroit, qui n'avait ni travail ni compagne. Son chapeau était absolument incroyable : le bord recouvert de poils de lapin s'attachait à trois boudins circulaires... Mais pour simplifier disons que c'était ce qui le distinguait des autres mal coiffés.

Gaspard était parmi les hommes, à n'en pas douter, celui à qui l'on pouvait facilement se confier; un gardien des secrets, toujours à l'affût de la moindre personne en détresse, en plus. Et pour cause : il était muet. Mais pas comme une carpe ou un gardon : muet comme peut l'être un mime Marceau.

Il était sur le chemin qui mène au moulin. Il écoutait les oiseaux chanter, le loup hurler, aperçut accroché à un buisson un pan de manteau rouge et un gourdin posé au sol. Il s'arrêta et pensa : "on a enlevé le petit chaperon rouge !" Il hésita, balança entre deux choix : le gourdin ou le pan de manteau ?

"Je repars sur le chemin armé de ce gourdin," estima-t-il en ajustant l'arme sur son épaule et reprenant sa route d'un pas alerte.

Il repéra une série de pas menant à une termitière, vaste cheminée érigée droit vers le ciel. Il examina près de l'édifice un tas d'os à demi rongés, qui d'après leur étrange disposition, étaient les reliquats d'un sacrifice humain.

En y regardant de plus près, les os blanchis par le temps étaient disposés dans un ordre particulier. Un tas d'os disposé en croissant de lune dirigé vers l'orient ! Brandissant son gourdin, inquiet en reconnaissant la signature des adorateurs de la noire Hécate, il effleura l'édifice pour conjurer le mauvais sort.

Concentré sur les mots, il ne remarqua pas que la frêle colonne de la termitière se mettait à trembler, une lumière rougeoyante perçant des fines lignes de fissures çà et là. Des fumerolles couleur de cendre s'élevèrent, obscurcissant le haut de l'édifice. Dans le même temps, un son d'orgue grave résonna, inquiétant Gaspard qui releva la tête et aperçut, jaillissant des fissures à gros flots, de la lave. "Ce n'est rien que le feu de la terre", pensa-t-il, peu impressionné.

Il s'éloigna pour ne pas sentir les vapeurs de soufre, cela lui donna un instant de répit pour reprendre ses esprits.

"J'ai faim", se dit-il soudain, maintenant un peu inquiet. Il fouilla dans sa sacoche, en sortit un quignon de pain qu'il engloutit très vite et s'entrucha avec : le pain était sec. Gaspard passa l'arme à gauche. A ce moment-là une jeune fille s'approcha son manteau rouge enroulé autour d'elle

Il était une fois un jeune homme plutôt quelconque, et fort maladroit, qui n'avait ni travail ni compagne. Son chapeau était absolument incroyable : le bord recouvert de poils de lapin s'attachait à trois boudins circulaires... Mais pour simplifier disons que c'était ce qui le distinguait des autres mal coiffés.

Gaspard était parmi les hommes, à n'en pas douter, celui à qui l'on pouvait facilement se confier; un gardien des secrets, toujours à l'affût de la moindre personne en détresse, en plus. Et pour cause : il était muet. Mais pas comme une carpe ou un gardon : muet comme peut l'être un mime Marceau.

Il était sur le chemin qui mène au moulin. Il écoutait les oiseaux chanter, le loup hurler, aperçut accroché à un buisson un pan de manteau rouge et un gourdin posé au sol. Il s'arrêta et pensa : "on a enlevé le petit chaperon rouge !" Il hésita, balança entre deux choix : le gourdin ou le pan de manteau ?

"Je repars sur le chemin armé de ce gourdin," estima-t-il en ajustant l'arme sur son épaule et reprenant sa route d'un pas alerte.

Il repéra une série de pas menant à une termitière, vaste cheminée érigée droit vers le ciel. Il examina près de l'édifice un tas d'os à demi rongés, qui d'après leur étrange disposition, étaient les reliquats d'un sacrifice humain.

En y regardant de plus près, les os blanchis par le temps étaient disposés dans un ordre particulier. Un tas d'os disposé en croissant de lune dirigé vers l'orient ! Brandissant son gourdin, inquiet en reconnaissant la signature des adorateurs de la noire Hécate, il effleura l'édifice pour conjurer le mauvais sort.

Concentré sur les mots, il ne remarqua pas que la frêle colonne de la termitière se mettait à trembler, une lumière rougeoyante perçant des fines lignes de fissures çà et là. Des fumerolles couleur de cendre s'élevèrent, obscurcissant le haut de l'édifice. Dans le même temps, un son d'orgue grave résonna, inquiétant Gaspard qui releva la tête et aperçut, jaillissant des fissures à gros flots, de la lave. "Ce n'est rien que le feu de la terre", pensa-t-il, peu impressionné.

Il s'éloigna pour ne pas sentir les vapeurs de soufre, cela lui donna un instant de répit pour reprendre ses esprits.

"J'ai faim", se dit-il soudain, maintenant un peu inquiet. Il fouilla dans sa sacoche, en sortit un quignon de pain qu'il engloutit très vite et s'entrucha avec : le pain était sec. Gaspard passa l'arme à gauche. A ce moment-là une jeune fille s'approcha son manteau rouge enroulé autour d'elle...






Gaspard

Il était une fois un jeune homme plutôt quelconque, et fort maladroit, qui n'avait ni travail ni compagne. Son chapeau était absolument incroyable : le bord recouvert de poils de lapin s'attachait à trois boudins circulaires... Mais pour simplifier disons que c'était ce qui le distinguait des autres mal coiffés.

Gaspard était parmi les hommes, à n'en pas douter, celui à qui l'on pouvait facilement se confier; un gardien des secrets, toujours à l'affût de la moindre personne en détresse, en plus. Et pour cause : il était muet. Mais pas comme une carpe ou un gardon : muet comme peut l'être un mime Marceau.

Il était sur le chemin qui mène au moulin. Il écoutait les oiseaux chanter, le loup hurler, aperçut accroché à un buisson un pan de manteau rouge et un gourdin posé au sol. Il s'arrêta et pensa : "on a enlevé le petit chaperon rouge !" Il hésita, balança entre deux choix : le gourdin ou le pan de manteau ?

"Je repars sur le chemin armé de ce gourdin," estima-t-il en ajustant l'arme sur son épaule et reprenant sa route d'un pas alerte.

Il repéra une série de pas menant à une termitière, vaste cheminée érigée droit vers le ciel. Il examina près de l'édifice un tas d'os à demi rongés, qui d'après leur étrange disposition, étaient les reliquats d'un sacrifice humain.

En y regardant de plus près, les os blanchis par le temps étaient disposés dans un ordre particulier. Un tas d'os disposé en croissant de lune dirigé vers l'orient ! Brandissant son gourdin, inquiet en reconnaissant la signature des adorateurs de la noire Hécate, il effleura l'édifice pour conjurer le mauvais sort.

Concentré sur les mots, il ne remarqua pas que la frêle colonne de la termitière se mettait à trembler, une lumière rougeoyante perçant des fines lignes de fissures çà et là. Des fumerolles couleur de cendre s'élevèrent, obscurcissant le haut de l'édifice. Dans le même temps, un son d'orgue grave résonna, inquiétant Gaspard qui releva la tête et aperçut, jaillissant des fissures à gros flots, de la lave. "Ce n'est rien que le feu de la terre", pensa-t-il, peu impressionné.

Il s'éloigna pour ne pas sentir les vapeurs de soufre, cela lui donna un instant de répit pour reprendre ses esprits.

"J'ai faim", se dit-il soudain, maintenant un peu inquiet. Il fouilla dans sa sacoche, en sortit un quignon de pain qu'il engloutit très vite et s'entrucha avec : le pain était sec. Gaspard passa l'arme à gauche. A ce moment-là une jeune fille s'approcha son manteau rouge enroulé autour d'elle...


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Gaspard ouvrit les yeux, tout était sombre autour de lui

Il était une fois un jeune homme plutôt quelconque, et fort maladroit, qui n'avait ni travail ni compagne. Son chapeau était absolument incroyable : le bord recouvert de poils de lapin s'attachait à trois boudins circulaires... Mais pour simplifier disons que c'était ce qui le distinguait des autres mal coiffés.

Gaspard était parmi les hommes, à n'en pas douter, celui à qui l'on pouvait facilement se confier; un gardien des secrets, toujours à l'affût de la moindre personne en détresse, en plus. Et pour cause : il était muet. Mais pas comme une carpe ou un gardon : muet comme peut l'être un mime Marceau.

Il était sur le chemin qui mène au moulin. Il écoutait les oiseaux chanter, le loup hurler, aperçut accroché à un buisson un pan de manteau rouge et un gourdin posé au sol. Il s'arrêta et pensa : "on a enlevé le petit chaperon rouge !" Il hésita, balança entre deux choix : le gourdin ou le pan de manteau ?

"Je repars sur le chemin armé de ce gourdin," estima-t-il en ajustant l'arme sur son épaule et reprenant sa route d'un pas alerte.

Il repéra une série de pas menant à une termitière, vaste cheminée érigée droit vers le ciel. Il examina près de l'édifice un tas d'os à demi rongés, qui d'après leur étrange disposition, étaient les reliquats d'un sacrifice humain.

En y regardant de plus près, les os blanchis par le temps étaient disposés dans un ordre particulier. Un tas d'os disposé en croissant de lune dirigé vers l'orient ! Brandissant son gourdin, inquiet en reconnaissant la signature des adorateurs de la noire Hécate, il effleura l'édifice pour conjurer le mauvais sort.

Concentré sur les mots, il ne remarqua pas que la frêle colonne de la termitière se mettait à trembler, une lumière rougeoyante perçant des fines lignes de fissures çà et là. Des fumerolles couleur de cendre s'élevèrent, obscurcissant le haut de l'édifice. Dans le même temps, un son d'orgue grave résonna, inquiétant Gaspard qui releva la tête et aperçut, jaillissant des fissures à gros flots, de la lave. "Ce n'est rien que le feu de la terre", pensa-t-il, peu impressionné.

Il s'éloigna pour ne pas sentir les vapeurs de soufre, cela lui donna un instant de répit pour reprendre ses esprits.

"J'ai faim", se dit-il soudain, maintenant un peu inquiet. Il fouilla dans sa sacoche, en sortit un quignon de pain qu'il engloutit très vite et s'entrucha avec : le pain était sec. Gaspard passa l'arme à gauche. A ce moment-là une jeune fille s'approcha son manteau rouge enroulé autour d'elle...


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Gaspard ouvrit les yeux, tout était sombre autour de lui, une odeur de terre fraîchement retournée emplissant l'air

Il était une fois un jeune homme plutôt quelconque, et fort maladroit, qui n'avait ni travail ni compagne. Son chapeau était absolument incroyable : le bord recouvert de poils de lapin s'attachait à trois boudins circulaires... Mais pour simplifier disons que c'était ce qui le distinguait des autres mal coiffés.

Gaspard était parmi les hommes, à n'en pas douter, celui à qui l'on pouvait facilement se confier; un gardien des secrets, toujours à l'affût de la moindre personne en détresse, en plus. Et pour cause : il était muet. Mais pas comme une carpe ou un gardon : muet comme peut l'être un mime Marceau.

Il était sur le chemin qui mène au moulin. Il écoutait les oiseaux chanter, le loup hurler, aperçut accroché à un buisson un pan de manteau rouge et un gourdin posé au sol. Il s'arrêta et pensa : "on a enlevé le petit chaperon rouge !" Il hésita, balança entre deux choix : le gourdin ou le pan de manteau ?

"Je repars sur le chemin armé de ce gourdin," estima-t-il en ajustant l'arme sur son épaule et reprenant sa route d'un pas alerte.

Il repéra une série de pas menant à une termitière, vaste cheminée érigée droit vers le ciel. Il examina près de l'édifice un tas d'os à demi rongés, qui d'après leur étrange disposition, étaient les reliquats d'un sacrifice humain.

En y regardant de plus près, les os blanchis par le temps étaient disposés dans un ordre particulier. Un tas d'os disposé en croissant de lune dirigé vers l'orient ! Brandissant son gourdin, inquiet en reconnaissant la signature des adorateurs de la noire Hécate, il effleura l'édifice pour conjurer le mauvais sort.

Concentré sur les mots, il ne remarqua pas que la frêle colonne de la termitière se mettait à trembler, une lumière rougeoyante perçant des fines lignes de fissures çà et là. Des fumerolles couleur de cendre s'élevèrent, obscurcissant le haut de l'édifice. Dans le même temps, un son d'orgue grave résonna, inquiétant Gaspard qui releva la tête et aperçut, jaillissant des fissures à gros flots, de la lave. "Ce n'est rien que le feu de la terre", pensa-t-il, peu impressionné.

Il s'éloigna pour ne pas sentir les vapeurs de soufre, cela lui donna un instant de répit pour reprendre ses esprits.

"J'ai faim", se dit-il soudain, maintenant un peu inquiet. Il fouilla dans sa sacoche, en sortit un quignon de pain qu'il engloutit très vite et s'entrucha avec : le pain était sec. Gaspard passa l'arme à gauche. A ce moment-là une jeune fille s'approcha son manteau rouge enroulé autour d'elle...


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Gaspard ouvrit les yeux, tout était sombre autour de lui, une odeur de terre fraîchement retournée emplissant l'air lui parvint aux narines. Il avait froid

Il était une fois un jeune homme plutôt quelconque, et fort maladroit, qui n'avait ni travail ni compagne. Son chapeau était absolument incroyable : le bord recouvert de poils de lapin s'attachait à trois boudins circulaires... Mais pour simplifier disons que c'était ce qui le distinguait des autres mal coiffés.

Gaspard était parmi les hommes, à n'en pas douter, celui à qui l'on pouvait facilement se confier; un gardien des secrets, toujours à l'affût de la moindre personne en détresse, en plus. Et pour cause : il était muet. Mais pas comme une carpe ou un gardon : muet comme peut l'être un mime Marceau.

Il était sur le chemin qui mène au moulin. Il écoutait les oiseaux chanter, le loup hurler, aperçut accroché à un buisson un pan de manteau rouge et un gourdin posé au sol. Il s'arrêta et pensa : "on a enlevé le petit chaperon rouge !" Il hésita, balança entre deux choix : le gourdin ou le pan de manteau ?

"Je repars sur le chemin armé de ce gourdin," estima-t-il en ajustant l'arme sur son épaule et reprenant sa route d'un pas alerte.

Il repéra une série de pas menant à une termitière, vaste cheminée érigée droit vers le ciel. Il examina près de l'édifice un tas d'os à demi rongés, qui d'après leur étrange disposition, étaient les reliquats d'un sacrifice humain.

En y regardant de plus près, les os blanchis par le temps étaient disposés dans un ordre particulier. Un tas d'os disposé en croissant de lune dirigé vers l'orient ! Brandissant son gourdin, inquiet en reconnaissant la signature des adorateurs de la noire Hécate, il effleura l'édifice pour conjurer le mauvais sort.

Concentré sur les mots, il ne remarqua pas que la frêle colonne de la termitière se mettait à trembler, une lumière rougeoyante perçant des fines lignes de fissures çà et là. Des fumerolles couleur de cendre s'élevèrent, obscurcissant le haut de l'édifice. Dans le même temps, un son d'orgue grave résonna, inquiétant Gaspard qui releva la tête et aperçut, jaillissant des fissures à gros flots, de la lave. "Ce n'est rien que le feu de la terre", pensa-t-il, peu impressionné.

Il s'éloigna pour ne pas sentir les vapeurs de soufre, cela lui donna un instant de répit pour reprendre ses esprits.

"J'ai faim", se dit-il soudain, maintenant un peu inquiet. Il fouilla dans sa sacoche, en sortit un quignon de pain qu'il engloutit très vite et s'entrucha avec : le pain était sec. Gaspard passa l'arme à gauche. A ce moment-là une jeune fille s'approcha son manteau rouge enroulé autour d'elle...


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Gaspard ouvrit les yeux, tout était sombre autour de lui, une odeur de terre fraîchement retournée emplissant l'air lui parvint aux narines. Il avait froid.

"Gaspard ? tu m'entends ?

Il était une fois un jeune homme plutôt quelconque, et fort maladroit, qui n'avait ni travail ni compagne. Son chapeau était absolument incroyable : le bord recouvert de poils de lapin s'attachait à trois boudins circulaires... Mais pour simplifier disons que c'était ce qui le distinguait des autres mal coiffés.

Gaspard était parmi les hommes, à n'en pas douter, celui à qui l'on pouvait facilement se confier; un gardien des secrets, toujours à l'affût de la moindre personne en détresse, en plus. Et pour cause : il était muet. Mais pas comme une carpe ou un gardon : muet comme peut l'être un mime Marceau.

Il était sur le chemin qui mène au moulin. Il écoutait les oiseaux chanter, le loup hurler, aperçut accroché à un buisson un pan de manteau rouge et un gourdin posé au sol. Il s'arrêta et pensa : "on a enlevé le petit chaperon rouge !" Il hésita, balança entre deux choix : le gourdin ou le pan de manteau ?

"Je repars sur le chemin armé de ce gourdin," estima-t-il en ajustant l'arme sur son épaule et reprenant sa route d'un pas alerte.

Il repéra une série de pas menant à une termitière, vaste cheminée érigée droit vers le ciel. Il examina près de l'édifice un tas d'os à demi rongés, qui d'après leur étrange disposition, étaient les reliquats d'un sacrifice humain.

En y regardant de plus près, les os blanchis par le temps étaient disposés dans un ordre particulier. Un tas d'os disposé en croissant de lune dirigé vers l'orient ! Brandissant son gourdin, inquiet en reconnaissant la signature des adorateurs de la noire Hécate, il effleura l'édifice pour conjurer le mauvais sort.

Concentré sur les mots, il ne remarqua pas que la frêle colonne de la termitière se mettait à trembler, une lumière rougeoyante perçant des fines lignes de fissures çà et là. Des fumerolles couleur de cendre s'élevèrent, obscurcissant le haut de l'édifice. Dans le même temps, un son d'orgue grave résonna, inquiétant Gaspard qui releva la tête et aperçut, jaillissant des fissures à gros flots, de la lave. "Ce n'est rien que le feu de la terre", pensa-t-il, peu impressionné.

Il s'éloigna pour ne pas sentir les vapeurs de soufre, cela lui donna un instant de répit pour reprendre ses esprits.

"J'ai faim", se dit-il soudain, maintenant un peu inquiet. Il fouilla dans sa sacoche, en sortit un quignon de pain qu'il engloutit très vite et s'entrucha avec : le pain était sec. Gaspard passa l'arme à gauche. A ce moment-là une jeune fille s'approcha son manteau rouge enroulé autour d'elle...


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Gaspard ouvrit les yeux, tout était sombre autour de lui, une odeur de terre fraîchement retournée emplissant l'air lui parvint aux narines. Il avait froid. Il était gelé littéralement jusqu'à la moelle